Des éléments FDS et FAFN qui ont sécurisé les audiences foraines menacent de bloquer l`opération d`identification. Ils réclament le paiement des arriérés de primes et menacent de bloquer l`opération d`identification en cours actuellement si rien n`est fait. "Pour paiement incertain des arriérés de nos primes alimentaires quotidiennes des audiences foraines que nous attendons, nous FDS et FAFN (environ 2500 éléments) ayant assuré la couverture sécuritaire desdites audiences, projetons de nous rassembler incessamment à Yamoussoukro, au CCI.
Le but est de nous faire entendre et voir, avec en ligne de mire l`interruption de l`opération d`identification afin que les autorités militaires et civiles des ministères de la Défense et surtout de la Justice prennent conscience de nos préoccupations, de notre ras-le-bol et notre indignation. Nous en avons marre. Tantôt, l`on nous fait savoir que c`est l`Union Européenne qui paiera une partie, tantôt c`est l`Etat de Côte d`Ivoire qui paiera l`autre partie de nos primes", voici ce que déclare leur porte-parole sous le couvert de l`anonymat. Et les éléments mécontents de poursuivre: "Nous allons réclamer le paiement intégral de ces primes que nous méritons. Nous avons consenti beaucoup de sacrifices pour être traités de cette manière".
A en croire les éléments des deux forces (FDS et FAFN) qui ont travaillé dans le cadre du CCI, certains d`entre eux ont assuré la sécurité de l`opération souvent au risque de leur vie, souvent à crédit (des dettes contractées pour assurer les déplacements et la nourriture). Des soldats n`ont pas hésité à exprimer leur peur de percevoir ces primes à titre posthume. Toute situation qui, selon eux, les révolte. "Vivement que nos primes soient payées. Sinon cela pourrait entraîner des conséquences graves sur l`opération d`identification, et pourquoi pas sur le processus de sortie de crise", préviennent-ils alors. Une menace qui doit être prise au sérieux dans ce contexte. Il y a donc lieu pour les autorités compétentes de se pencher sur cette question et la résoudre dans la mesure du possible pour éviter des situations fâcheuses. Notons que les primes impayées s`élèvent à 280 000 (deux cent quatre vingt mille) francs pour chacun. Elles étaient de 3000 francs par jour au départ et ont été majorées à 5000 francs par jour. La première tranche avait été payée mais depuis la majoration à 5000 f, rien n`a encore été versé. C`est ce qui s`élève à 280 000 francs pour chaque élément et c`est ce que les soldats mécontents réclament, en menaçant, rappelons-le, de bloquer l`opération d`identification si rien n`est fait.
Source: Le Nouveau Reveil
Le but est de nous faire entendre et voir, avec en ligne de mire l`interruption de l`opération d`identification afin que les autorités militaires et civiles des ministères de la Défense et surtout de la Justice prennent conscience de nos préoccupations, de notre ras-le-bol et notre indignation. Nous en avons marre. Tantôt, l`on nous fait savoir que c`est l`Union Européenne qui paiera une partie, tantôt c`est l`Etat de Côte d`Ivoire qui paiera l`autre partie de nos primes", voici ce que déclare leur porte-parole sous le couvert de l`anonymat. Et les éléments mécontents de poursuivre: "Nous allons réclamer le paiement intégral de ces primes que nous méritons. Nous avons consenti beaucoup de sacrifices pour être traités de cette manière".
A en croire les éléments des deux forces (FDS et FAFN) qui ont travaillé dans le cadre du CCI, certains d`entre eux ont assuré la sécurité de l`opération souvent au risque de leur vie, souvent à crédit (des dettes contractées pour assurer les déplacements et la nourriture). Des soldats n`ont pas hésité à exprimer leur peur de percevoir ces primes à titre posthume. Toute situation qui, selon eux, les révolte. "Vivement que nos primes soient payées. Sinon cela pourrait entraîner des conséquences graves sur l`opération d`identification, et pourquoi pas sur le processus de sortie de crise", préviennent-ils alors. Une menace qui doit être prise au sérieux dans ce contexte. Il y a donc lieu pour les autorités compétentes de se pencher sur cette question et la résoudre dans la mesure du possible pour éviter des situations fâcheuses. Notons que les primes impayées s`élèvent à 280 000 (deux cent quatre vingt mille) francs pour chacun. Elles étaient de 3000 francs par jour au départ et ont été majorées à 5000 francs par jour. La première tranche avait été payée mais depuis la majoration à 5000 f, rien n`a encore été versé. C`est ce qui s`élève à 280 000 francs pour chaque élément et c`est ce que les soldats mécontents réclament, en menaçant, rappelons-le, de bloquer l`opération d`identification si rien n`est fait.
Source: Le Nouveau Reveil
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