La sortie musclée de Konaté Sidiki risquent d`envenimer la relative bonne cohabitation entre les FDS-CI et les FAFN. Toute la journée d`hier vendredi, notre téléphone n`a pas arrêté de crépiter.
Des officiers et sous-officiers de l`armée régulière ivoirienne ont même joint personnellement des journalistes de votre quotidien préféré Le Temps sur leurs téléphones mobiles. " Suis-je bel et bien au journal Le Temps ? " Presque tous les appels étaient ainsi libellés. Nos interlocuteurs ont laissé entendre qu`ils ne se sentent pas concernés par les palabres entre le FPI et les rebelles. Toutefois, ce qui les dérange, c`est cet amalgame de Konaté Sidiki: " On était tranquille à Bouaké lorsqu`on nous a tendu la main. On n`est pas demandeur de paix. On fait croire que les Forces nouvelles sont divisées. Nous sommes bel et bien soudées, responsables et nos forces sont intactes. Les Forces nouvelles sont homogènes (…) Si on nous attaque, on va prendre nos responsabilités.
On ira à Bouaké pour se réorganiser…. On n`est pas venu faire pitié ici…" Selon ces militaires, ces déclarations du porte-parole des rebelles s`adressent directement à eux. Surtout que Konaté Sidiki insistait sur l`équilibre des forces entre les FANCI est la rébellion. " Les gens font comme s`ils ont gagné la guerre, or c`est parce qu`ils (les militaires de l`armée régulière, ndlr) ont échoué face notre puissance de feu que nous sommes ici. Ca aussi les gens doivent le savoir ", disait-il. " Ecoutez chers amis, j`espère que vous transmettrez fidèlement mes propos. Je voudrais réagir aux propos injurieux du porte-parole des rebelles. Mais enfin, pour qui se prend-il, celui-là ? Il faut qu`il fasse attention. S`ils veulent retourner à Bouaké qu`ils s`en aillent. Une chose est sûre, c`est que tôt ou tard nous irons les y déloger, ce n`est qu`une question de commodité. " A indiqué ce sous- officier des FDS-CI sous le pseudonyme de ON. " Nous les militaires ne faisons pas de politique, mais ce jeune homme doit faire attention à ce qu`il dit.
Je suis originaire du Nord je préfère vous le dire maintenant. La rébellion nous nargue et le moment viendra où tout ça va prendre fin", menace T.A. Nous aurions voulu transcrire tous les appels que ces lignes ne suffiront pas. Cependant, force est de reconnaître que Konaté Sidiki a raté sa cible, lui qui croyait atteindre le président du FPI, Pascal Affi N`Guessan en le traitant publiquement " d`idiot " au grand dam de la Nation que l`ancien Premier ministre du Président Laurent Gbagbo a servi avec dévouement. Pour le moins que l`on puisse dire, Affi continue d`être remercié de la plus mauvaise manière, lui qu`on n`a pas hésité à sacrifier sur l`autel de la rébellion.
Des officiers et sous-officiers de l`armée régulière ivoirienne ont même joint personnellement des journalistes de votre quotidien préféré Le Temps sur leurs téléphones mobiles. " Suis-je bel et bien au journal Le Temps ? " Presque tous les appels étaient ainsi libellés. Nos interlocuteurs ont laissé entendre qu`ils ne se sentent pas concernés par les palabres entre le FPI et les rebelles. Toutefois, ce qui les dérange, c`est cet amalgame de Konaté Sidiki: " On était tranquille à Bouaké lorsqu`on nous a tendu la main. On n`est pas demandeur de paix. On fait croire que les Forces nouvelles sont divisées. Nous sommes bel et bien soudées, responsables et nos forces sont intactes. Les Forces nouvelles sont homogènes (…) Si on nous attaque, on va prendre nos responsabilités.
On ira à Bouaké pour se réorganiser…. On n`est pas venu faire pitié ici…" Selon ces militaires, ces déclarations du porte-parole des rebelles s`adressent directement à eux. Surtout que Konaté Sidiki insistait sur l`équilibre des forces entre les FANCI est la rébellion. " Les gens font comme s`ils ont gagné la guerre, or c`est parce qu`ils (les militaires de l`armée régulière, ndlr) ont échoué face notre puissance de feu que nous sommes ici. Ca aussi les gens doivent le savoir ", disait-il. " Ecoutez chers amis, j`espère que vous transmettrez fidèlement mes propos. Je voudrais réagir aux propos injurieux du porte-parole des rebelles. Mais enfin, pour qui se prend-il, celui-là ? Il faut qu`il fasse attention. S`ils veulent retourner à Bouaké qu`ils s`en aillent. Une chose est sûre, c`est que tôt ou tard nous irons les y déloger, ce n`est qu`une question de commodité. " A indiqué ce sous- officier des FDS-CI sous le pseudonyme de ON. " Nous les militaires ne faisons pas de politique, mais ce jeune homme doit faire attention à ce qu`il dit.
Je suis originaire du Nord je préfère vous le dire maintenant. La rébellion nous nargue et le moment viendra où tout ça va prendre fin", menace T.A. Nous aurions voulu transcrire tous les appels que ces lignes ne suffiront pas. Cependant, force est de reconnaître que Konaté Sidiki a raté sa cible, lui qui croyait atteindre le président du FPI, Pascal Affi N`Guessan en le traitant publiquement " d`idiot " au grand dam de la Nation que l`ancien Premier ministre du Président Laurent Gbagbo a servi avec dévouement. Pour le moins que l`on puisse dire, Affi continue d`être remercié de la plus mauvaise manière, lui qu`on n`a pas hésité à sacrifier sur l`autel de la rébellion.
No comments:
Post a Comment