07 heures d’horloge. C’est le temps qu’aura duré les rencontres entre le Premier ministre Guillaume Soro, le ministre de la Défense Amani Michel et M. Bouréïma Badini représentant du facilitateur au bureau du secrétaire général des Forces nouvelles .Pendant ce temps, de l’autre côté, dans la salle de conférence du même secrétariat, s’entretenaient les généraux Phillippe Mangou des Fds, Soumaïla Bakayoko des Fafn et le commandant en second de la force onusienne Mouhamadou Kanji. Ces deux séances de travail ont porté sur l’élaboration d’un plan de travail concerté, relatif à la mise en œuvre des questions militaires contenues dans l’accord complémentaire 4. A 12 heures 45 minutes ,les deux parties marquent une pause pour reprendre à 14 heures 40 pour la synthèse.
Rien n’a filtré de cette première partie de la rencontre. Le chef du gouvernement a exprimé sa joie à l’issue de cette rencontre. « Ma joie est grande parce que nous avons fait des progrès importants dans l’application de l’accord 4 de Ouagadougou en ce qui concerne le volet militaire » s`est-il réjoui. Le Premier ministre a aussi salué l’esprit de fraternité qui a animé la séance de travail. En outre, il a noté la fraternité qui prévaut entre les FDS et les FAFN. Pour Guillaume Soro, les mesures arrêtées à l’issue de cette rencontre sont importantes et «ça démontre que nous faisons un pas de plus dans l’irréversibilité du processus». Selon le ministre de la Défense Michel Amani, cette rencontre a pour objectif, la mise en œuvre de l’accord de Ouaga signé par le président de la République et le Premier ministre. « Il fallait pour nous, avec toutes les forces réunies , rédiger une matrice d’actions et c’est ce que nous venons de faire.
Les généraux Bakayoko et Mangou nous ont facilité la tâche » s’est-il réjoui. Pour lui , la séance a été l’occasion de trouver des solutions à toutes les difficultés malgré les obstacles liés à l’application des textes ( démobilisation des ex combattants ,le démantèlement des milices et la question de 500.000 francs à payer) . « Malgré les difficultés ,nous avons pu les fléchir, les contourner pour trouver des solutions grâce à la bonne volonté des uns et des autres. Nous sommes assurés qu’avec Ouaga 4, c’est fini la crise en Côte d’Ivoire et ensemble, nous allons, la main dans la main, courant février, poser des actes décisifs qui mettront un terme définitif à la crise en Côte d’Ivoire » a révélé le ministre. Abondant dans le même sens que Guillaume Soro, il a indiqué qu’aujourd’hui «il n’est plus question de Fafn ennemies des Fanci». «Mais nous parlons entre nous ivoiriens et nous avons compris que la paix est irréversible en Côte d’Ivoire. Il ne faut pas jouer au plus malin en faisant des obstacles ici et là. Tout cela est fini ». Le communiqué lu par le conseiller spécial du Premier ministre Alain Donwahi, à la fin des travaux indique que les rencontres ont porté sur la reprise des travaux du groupe de travail sur la restructuration et la refondation de la nouvelle armée nationale ;des décisions relatives au fonctionnement du centre de commandement intégré ; des contingents mixtes de police et de gendarmerie à affecter au Cci; du recrutement et du regroupement des 5000 éléments issus des Forces armées des Forces nouvelles à intégrer dans la nouvelle armée nationale ; de l’élaboration du mode opératoire pour le stockage des armes des ex belligérants ; du suivi des ex combattants démobilisés ; de la question des grades et enfin du déploiement des officiers de police judiciaire dans les juridictions en zone Cno.
Rien n’a filtré de cette première partie de la rencontre. Le chef du gouvernement a exprimé sa joie à l’issue de cette rencontre. « Ma joie est grande parce que nous avons fait des progrès importants dans l’application de l’accord 4 de Ouagadougou en ce qui concerne le volet militaire » s`est-il réjoui. Le Premier ministre a aussi salué l’esprit de fraternité qui a animé la séance de travail. En outre, il a noté la fraternité qui prévaut entre les FDS et les FAFN. Pour Guillaume Soro, les mesures arrêtées à l’issue de cette rencontre sont importantes et «ça démontre que nous faisons un pas de plus dans l’irréversibilité du processus». Selon le ministre de la Défense Michel Amani, cette rencontre a pour objectif, la mise en œuvre de l’accord de Ouaga signé par le président de la République et le Premier ministre. « Il fallait pour nous, avec toutes les forces réunies , rédiger une matrice d’actions et c’est ce que nous venons de faire.
Les généraux Bakayoko et Mangou nous ont facilité la tâche » s’est-il réjoui. Pour lui , la séance a été l’occasion de trouver des solutions à toutes les difficultés malgré les obstacles liés à l’application des textes ( démobilisation des ex combattants ,le démantèlement des milices et la question de 500.000 francs à payer) . « Malgré les difficultés ,nous avons pu les fléchir, les contourner pour trouver des solutions grâce à la bonne volonté des uns et des autres. Nous sommes assurés qu’avec Ouaga 4, c’est fini la crise en Côte d’Ivoire et ensemble, nous allons, la main dans la main, courant février, poser des actes décisifs qui mettront un terme définitif à la crise en Côte d’Ivoire » a révélé le ministre. Abondant dans le même sens que Guillaume Soro, il a indiqué qu’aujourd’hui «il n’est plus question de Fafn ennemies des Fanci». «Mais nous parlons entre nous ivoiriens et nous avons compris que la paix est irréversible en Côte d’Ivoire. Il ne faut pas jouer au plus malin en faisant des obstacles ici et là. Tout cela est fini ». Le communiqué lu par le conseiller spécial du Premier ministre Alain Donwahi, à la fin des travaux indique que les rencontres ont porté sur la reprise des travaux du groupe de travail sur la restructuration et la refondation de la nouvelle armée nationale ;des décisions relatives au fonctionnement du centre de commandement intégré ; des contingents mixtes de police et de gendarmerie à affecter au Cci; du recrutement et du regroupement des 5000 éléments issus des Forces armées des Forces nouvelles à intégrer dans la nouvelle armée nationale ; de l’élaboration du mode opératoire pour le stockage des armes des ex belligérants ; du suivi des ex combattants démobilisés ; de la question des grades et enfin du déploiement des officiers de police judiciaire dans les juridictions en zone Cno.
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