La ville de Bouaké a été secouée par une double manifestation de soldats et d’étudiants.
Les 1.000 microprojets de l’Onuci octroyés le week-end dernier aux ex-combattants démobilisés des Forces nouvelles et les primes d’allocation forfaitaire de 90.000 F ne rencontrent plus l’adhésion de leurs bénéficiaires. Estimés à environ 100, ils ont manifesté, hier, dans les rues de Bouaké. En lieu et place, ils réclament la somme de 5.000.000 Fcfa chacun qui, selon eux, leur aurait été promise dès le début de la crise par leurs recruteurs. Les soldats qui disent être abandonnés par leurs premiers responsables pour qui ils ont donné leur poitrine pour les défendre ont pris possession des locaux du secrétariat général. Ils ont fait voler en éclat les vitres des services de communication, du courrier et de la logistique. Les choses se sont déroulées très vite, vers 10 heures. Les ex-combattants sont allés déloger ceux de leurs camarades en formation au Centre de formation pour la réinsertion (Cfr) de Bouaké, financé par la Coopération allemande Gtz-Is. Ensemble, ils ont traversé le centre-ville et ont convergé vers le secrétariat général des Forces nouvelles. Suite
Les 1.000 microprojets de l’Onuci octroyés le week-end dernier aux ex-combattants démobilisés des Forces nouvelles et les primes d’allocation forfaitaire de 90.000 F ne rencontrent plus l’adhésion de leurs bénéficiaires. Estimés à environ 100, ils ont manifesté, hier, dans les rues de Bouaké. En lieu et place, ils réclament la somme de 5.000.000 Fcfa chacun qui, selon eux, leur aurait été promise dès le début de la crise par leurs recruteurs. Les soldats qui disent être abandonnés par leurs premiers responsables pour qui ils ont donné leur poitrine pour les défendre ont pris possession des locaux du secrétariat général. Ils ont fait voler en éclat les vitres des services de communication, du courrier et de la logistique. Les choses se sont déroulées très vite, vers 10 heures. Les ex-combattants sont allés déloger ceux de leurs camarades en formation au Centre de formation pour la réinsertion (Cfr) de Bouaké, financé par la Coopération allemande Gtz-Is. Ensemble, ils ont traversé le centre-ville et ont convergé vers le secrétariat général des Forces nouvelles. Suite
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