Les plus hauts responsables de la police et de la gendarmerie ivoiriennes ont participé du 26 au 30 décembre 2008, à un atelier d’orientation stratégique et prospective organisé par l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) à Grand Bassam.
L’atelier s’est tenu au Centre régional de formation à la lutte contre la drogue en présence du Directeur général de la police, le Commissaire divisionnaire major Brindou M’bia, du Chef par intérim de la police des Nations Unies (UNPOL), Pierre André Campiche, et du Chef de l’Unité Genre de l’ONUCI, Eva Dalak.
Selon M. Campiche, l’atelier a permis aux 40 participants de débattre essentiellement de l’orientation du travail de la police locale dans les cinq prochaines années. Après un état des lieux de la situation, les réflexions ont porté sur ce qui pourrait être amélioré. Ainsi, les participants ont relevé un manque important du matériel roulant et informatique, tout en soulignant le besoin de formation pratique pour s’adapter aux nouvelles techniques. Ils ont décidé notamment de développer le code éthique de la police afin d’entretenir de meilleures relations avec la population et contribuer à atténuer le sentiment d’insécurité.
Le chef par intérim de l’UNPOL s’est félicité de cette initiative, qui constitue « une étape importante dans le cadre de la réforme du secteur, mentionné dans l’Accord politique de Ouagadougou » et il a indiqué que « toute police se remet perpétuellement en question du fait de l’évolution de la société ».
Madame Eva Dalak a, de son côté, fait un exposé sur l’intégration des femmes dans la police. En Côte d’Ivoire, les femmes représentent un peu plus de 10% de l’effectif total du corps policier.
A ce jour, la section Reforme et Restructuration de la police de l’ONUCI a identifié 35 projets à l’intention de la police, dont une dizaine a déjà trouvé des financements.
Source: ONUCI
L’atelier s’est tenu au Centre régional de formation à la lutte contre la drogue en présence du Directeur général de la police, le Commissaire divisionnaire major Brindou M’bia, du Chef par intérim de la police des Nations Unies (UNPOL), Pierre André Campiche, et du Chef de l’Unité Genre de l’ONUCI, Eva Dalak.
Selon M. Campiche, l’atelier a permis aux 40 participants de débattre essentiellement de l’orientation du travail de la police locale dans les cinq prochaines années. Après un état des lieux de la situation, les réflexions ont porté sur ce qui pourrait être amélioré. Ainsi, les participants ont relevé un manque important du matériel roulant et informatique, tout en soulignant le besoin de formation pratique pour s’adapter aux nouvelles techniques. Ils ont décidé notamment de développer le code éthique de la police afin d’entretenir de meilleures relations avec la population et contribuer à atténuer le sentiment d’insécurité.
Le chef par intérim de l’UNPOL s’est félicité de cette initiative, qui constitue « une étape importante dans le cadre de la réforme du secteur, mentionné dans l’Accord politique de Ouagadougou » et il a indiqué que « toute police se remet perpétuellement en question du fait de l’évolution de la société ».
Madame Eva Dalak a, de son côté, fait un exposé sur l’intégration des femmes dans la police. En Côte d’Ivoire, les femmes représentent un peu plus de 10% de l’effectif total du corps policier.
A ce jour, la section Reforme et Restructuration de la police de l’ONUCI a identifié 35 projets à l’intention de la police, dont une dizaine a déjà trouvé des financements.
Source: ONUCI
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